Image en trompe l’oeil d’un reflet de palmier dans l’eau et dont les ravines créées sur le sable évoquent son écorce, une paréidolie, un mirage pris en photo sur la route à Djerba en Tunisie.
Montrée à l’occasion de l’exposition « the gaia hypothesis chapter two: Palm trees also die » à Palm Spring et organisée par the elemental et la fondation laccolade, commissariat Christopher Yggdre.
Cette exposition est dédiée à la communauté Cahuilla, protectrice et gardienne des oasis dans les déserts occidentaux.
« On nous dit que les plantes sont des créatures périssables et sans âme, que seul l’homme est immortel, etc. Quoi qu’il en soit, ce palmier était indescriptiblement impressionnant et m’a dit des choses plus grandes que celles que j’ai jamais entendues de la part d’un prêtre humain ».
John Muir
« Beaucoup de personnes qui aiment les palmiers ont le sentiment d’avoir affaire à nos aînés – avec une grande, très grande ancienneté – qui sont là depuis longtemps, et qui en savent plus sur la Terre que nous, d’une certaine manière. »
W. S. Merwyn
A trompe-l’oeil image of a palm tree reflected in the water, with the sandy gullies evoking its bark, a pareidolia, a mirage photographed on the road in Djerba, Tunisia.
Presented at the exhibition ‘the gaia hypothesis chapter two: Palm trees also die’ in Palm Spring, organised by the elemental and the laccolade foundation, curated by Christopher Yggdre.
This exhibition is dedicated to the Cahuilla Nation, protectors and stewards of the Oases in the Western Deserts.
“They tell us that plants are perishable, soulless creatures, that only man is immortal, etc.; but this, I think, is something that we know very nearly nothing about. Anyhow, this palm was indescribably impressive and told me grander things than I ever got from human priest.”
John Muir
“A lot of people who love palms have that feeling that you’re dealing with our elders-with great, great antiquity-that have been here a long time, and they know more about the Earth, in some ways, than we do.”
W. S. Merwyn
